• le site (environnement),
• l’architecture (conception),
• les matériaux (matérialisation),
• la mise en oeuvre (réalisation),
• les fluides et des énergies (optimisation).
– L’ enveloppe (murs, sol, couverture) : excellentes capacités d’isolation, inertie thermique, durabilité des performances, confort hygrothermique (gestion de la condensation).
– Les vitrages : orientation correcte pour capter la chaleur solaire, optimisation en fonction des différentes saisons, choix (double ou triple).
– Les murs capteurs et accumulateurs : captation la chaleur solaire grâce à leurs capacités d’inertie, mais aussi capacité à la restituer après un temps de déphasage (laps de temps à partir duquel la chaleur accumulée est restituée à l’intérieur du bâtiment).
– Les serres bioclimatiques : espace tampon servant également au captage de l’énergie solaire. Ces «serres solaires» permettent un réchauffement en hiver et un rafraîchissement en été. Les baies vitrées et la maçonnerie (inertie) contribuent ensemble à l’effet bénéfique de cet espace.
– Les capteurs à air : petites unités de stockage de l’énergie solaire (fonctionnant sur le mode des baies vitrées) particulièrement intéressants dans certains cas (façades non exposées au sud, chauffage par air pulsé, etc.).
– Le puit Canadien : échangeur air-sol (géothermique) à très basse énergie utilisé pour préchauffé l’air ventilé dans un bâtiment en hiver. Il est appelé puits provençal pour rafraîchir l’air ventilé dans un bâtiment en été.
– La ventilation : primordiale pour la santé des habitants (un air sain, oxygéné, aéré) et pour l’efficacité thermique des bâtiments. Différents systèmes de ventilation sont proposés.
